La liberté (2)

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Liberté et aspiration au bonheur…

Nous sommes tous des chercheurs de bonheur. C’est là une quête qui est inscrite au plus profond de nous comme une attente et une inquiétude. Tout être humain cherche à vivre à hauteur du désir qui le tient fondamentalement en vie : le désir de vivre, de vivre bien !

L’humain cherche à faire son bonheur. Il veut pouvoir vivre une vie qu’il éprouve comme satisfaisante, la satisfaction ultime dût-elle être différée !

Évidemment, nous ne pouvons que constater que ce désir commun à tous les hommes ne vise pas une seule et même réalité ! Autrement dit, le bonheur recherché ne semble pas le même pour tous ![/vc_column_text][vc_custom_heading text= »Qu’est-ce que je peux dire de ma propre aspiration au bonheur ? » font_container= »tag:h3|text_align:left » google_fonts= »font_family:Lobster%3Aregular|font_style:400%20regular%3A400%3Anormal » css= ».vc_custom_1421850186871{margin-bottom: 10px !important;padding-top: 5px !important;padding-right: 5px !important;padding-bottom: 5px !important;padding-left: 5px !important;background-color: rgba(221,171,95,0.6) !important;*background-color: rgb(221,171,95) !important;} »][vc_column_text]

Liberté, aspiration au bonheur et conscience morale

Chaque être humain est unique. Il l’est par son origine, son histoire, ses relations. C’est ce que nous appelons une “personne“. Et, à moins de ne pas encore disposer de sa capacité de jugement et d’action ou d’en être privé, personne ne peut se substituer à une personne ou disposer d’elle dans les décisions qui concernent sa vie. Car le centre ultime de la personne est sa conscience.

“Conscience ! Conscience ! Instinct divin, immortelle et céleste voix ; guide assuré d’un être ignorant et borné, mais intelligent et libre ; juge infaillible du bien et du mal, qui rends l’homme semblable à Dieu, c’est toi qui fais l’excellence de sa nature et de la moralité de ses actions ; sans toi je ne sens rien en moi qui m’élève au dessus des bêtes.“ (Jean-Jacques Rousseau, l’Émile ou l’éducation)

La conscience est ce lieu intime et inviolable du je. C’est en elle que s’enracine la possibilité de l’affirmation de soi comme sujet singulier, absolument singulier, ayant à se situer en son nom propre.

Vivre en son nom propre, c’est chercher et trouver ce que je reconnais comme bien et bon. C’est ainsi que la conscience morale ordonne (met en ordre) nos actes quotidiens, quels qu’en soient le registre, l’intensité, autour d’une sorte d’impératif, qu’il appartient à chaque sujet d’assumer.[/vc_column_text][vc_column_text][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

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